La Sarriette sur Les Plantiers

€20 for a pizza, a small salad and an ice cream. A little expensive... The pizza was good and in size it was normal, but not worth the 20€. Otherwise super nice waiter/waitress

We komen hier niet meteen terug. Mooie setting aan het water maar het eten was niet echt een aanrader. De pizza was niet lekker en de plat du jour was niet echt ons ding. Misschien zijn de stoofpotjes wel lekker maar niet geproefd. De gastvrouw was wel heel vriendelijk en we zijn heel goed behandeld geweest

We went there for an unpretentious concert while eating outdoors... As for me, I had a duck breast with pepper sauce. I enjoyed it... Moreover, the fries are cooked in beef fat and perfect in terms of cooking... In summary, I spent a very pleasant evening in a wooded setting... It was my birthday, at great outdoors with a good meal and some music from an orchestra... And a few dance steps

Avant tout commentaire, j’aimerais me présenter humblement. Je suis épicurien; explorateur des couleurs que notre formidable palais nous laisse entrevoir dans le royaume du goût. Autrement dit, j’aime manger. Bien, Maintenant que les présentations sont faites je vais vous compter mon périple culinaire qui m’a mené jusqu’à cette adresse. Tout commence le 1er jour du mois d’août de cette année bissextile riche en gourmandise. Nous étions chez moi dans les contrées d’Orleans où gise m’a demeure grotesque en pain d’épice haha petite plaisanterie. Après une saison estivale avarde en découvertes, je décide de faire un inoubliable Tour de France gustatif aux frais de mon piètre ami de Gustave. Les conditions de ce voyage insatiable me demanderez-vous ? Eh bien c’est un parcours diablement bien ficelé avec plusieurs escales stratégiques dont 5 haltes journalières dans différents établissements pouvant nous offrir le luxe de nous remplir la panse grassement. C’est donc dans ces conditions qu’au 10emes joue de ce Tour de France que nous eûmes été de passage dans ce phantasmagorique village perché au beau milieu des Cévennes que sont les Plantiers. longue Après une visite véloce aux comptoirs des terrasses chez le barman haut en couleur Juju (délicieux sandwich américain paré du fleuron magnifique traditionnel des Cévennes, le pelardon/fromage de chèvre), nous nous sommes dirigé vers les beaux balcons de la fameuse sariette. la seule évocation de ce nom faisait gémir mon antre d’estomac affamé d’amour coupables. Je ne saurais définir clairement la sensation quand j’ai découvert avec stupeur une carte hors de prix mais qui me laissait deviner la note salée que Gustave allait devoir régler, peut-être que le terme « Rhubitourbant » est de circonstance. Nous voilà donc attablé tel deux créatures voraces en attente de leur gamelle croustillante… de goinfrerie ? Non, de gourmandise pardi ! Ainsi la délicieuse serveuse s’avance pour prendre notre commande et voilà que mon verre initialement vide se retrouve débordant de salive porteuse de mon appétit ignoble. (1000 excuses.) La courte carte ne fît que pâle figure face à mes yeux pourfendeurs, décryptant chaque lettre en un ensemble cohérent et logique disposées dans un espace mentale personnel comportant la totalité de ma mémoire et de mes expérience passées que je nomme « bibliothèque de babibelle ». Étant de nature indécise j’ai succombé à mes désirs et n’ai donc renoncé à aucun plat. Une fois toute la carte commandée et les 70 tables, auparavant prévues pour les clients, mises à notre disposition afin de supporter le fruit de notre appétit, nous avons ENFIN commencé la dégustation. Chaque bouchée venaient me titiller la glotte par de fines caresses tendres ce qui inévitablement me mena à scander les murmures les plus romantiques qu’il m’a été donné d’imaginer. Dans cette frénésie macabre en vue de ma gestuelle gloutonne, j’ai malheureusement bousillé 16 paires de couverts que je me suis promis de faire collier en guise de trophée ultime de mon épicurismes. Les plats ? Mon ventre me les chantes encore en ces heures tardives. Il me remercie même lorsque je le scrute à travers le vieux pyjama collector Gribouille troué que m’a offert maman autrefois. En tant qu’italien de cœur, les pizzas que ma longue langue fourchue et habile a identifiée comme étant surgelée, eurent semblé tout à fait régurgitable, et pourtant… J’ai honte en l’admettent mais je me suis surpris à percer ma semelle après avoir gratté éperdument le fond de mes chaussures avec mes ongles aiguisés tant les graces au fond de nos assiette me combler. Par chance chaque assiette, comparable à de la mascarpone bouillante, a freinée ma progression jusqu’au dessert. La glace… ai-je besoins d’en rajouter ? Non, évidemment. La fraîcheur de cette crème givrée a su apaisé mes gencives cloquées, ébouillantées ! Un souvenir inoubliable dans une ambiance endémique aux Cévennes pour la modique somme de 685,40€. Un délice que Gustave(…) eut l’honneur de nous offrir. Ces donc sur ces douces paroles que je retourne arpenter les contrées reculées de nos belles régions française. Etienne le Turpide, gourmand mais pas goinfre.

Restaurant very well located, with a beautiful view of the village of Plantiers. Pleasant and smiling staff. However, menu paid 20 euros for the piano, but not a note heard during the evening. Only 3 choices of pizza, quite disappointing for a “pizza” themed evening. The ''royale'' was good, the ''3 cheeses'' too, but the ''cevenole'' supposedly with bacon and pelardon was disappointing for my taste. In fact, the pelardon was crumbled into small quantities and I had to look for the bacon in the pile of gruyere. Disappointed but not surprised considering that these were frozen :). No vegetarian option in terms of pizza, too bad. The ice creams were good!